Edito de Jean Bodart, maire de Dunkerque Bonne rentrée des classes à Dunkerque : sous le signe de l’égalité des chances ! Permettre à chaque enfant dunkerquois de réussir sa scolarité de la maternelle jusqu’aux études supérieures est pour nous une priorité politique. Depuis 2014, nous y travaillons, avec l’Éducation nationale : en faisant avancer de nouveaux dispositifs innovants, en transformant nos cours d’école et leurs abords, et en soutenant le pouvoir d’achat des familles dans l’aide aux devoirs gratuite, une tarification solidaire de la cantine et la livraison de fournitures scolaires gratuites. « L’Alliance » illustre bien cette volonté de réussite éducative, de vivre-ensemble dans nos quartiers et de résilience écologique que nous voulons pour la ville de demain. Cet équipement, concentré de nos ambitions politiques, ouvre comme prévu à l’occasion de cette rentrée, et quel bel écrin dont chacun va pouvoir profiter. Barthélémy Chinenyeze ramène à la maison le double titre olympique Ancien joueur du DGL Volley-Ball, « Barth » a eu l’occasion de fêter auprès de son club de cœur son nouveau titre olympique, lui qui est entré dans le cercle fermé de l’histoire du sport français. Félicitations à tous nos héros locaux qui, en boxe, en haltérophilie, en boccia, en paracyclisme ou en volleyball, ont porté haut les couleurs tricolores et dunkerquoises. Nous sommes fiers de nos champions ! Paris 2024 : Le rêve olympique et paralympique vécu ensemble ! Cent ans après les Jeux Olympiques de 1924, nous avons eu à la chance d’accueillir à nouveau dans notre pays cet événement mondial qui érige si formidablement bien les valeurs universelles portées par Pierre de Coubertin : l’excellence, le respect et l’amitié à travers le sport. À l’approche de l’événement, une dimension nous tenait particulièrement à cœur : celle de faire vivre le rêve olympique et paralympique de Paris 2024 au plus grand nombre. Pendant quatre ans, la Communauté urbaine a œuvré pour associer les enfants, les associations du territoire et tous les habitants, et organiser des événements permettant ainsi de faire monter la température avant la cérémonie d’ouverture. Le 2 juillet, nous étions plus de 15 000 dans les rues de Dunkerque pour admirer la flamme olympique. Un relais où nous voulions notamment mettre en lumière nos champions dunkerquois, comme Romain Imadouchène, Barthélémy Chinenyeze ou encore Hélène Cortin, médaillée de bronze aux Jeux d’Atlanta. Des places ont été attribuées à des associations du territoire et des habitants pour que chacun ait la chance de vivre ce moment unique dans une vie. Le « Club 2024 » a fait vibrer la place Jean-Bart, permis à des jeunes de s’essayer gratuitement au mur d’escalade, de se défouler sur le terrain de basket 3x3, ou d’être sensibilisés aux disciplines parasportives et aux vertus du sport. Après la cérémonie d’ouverture devant le FRAC, nous installerons encore un écran géant place Jean-Bart les 7 et 8 septembre pour les Jeux Paralympiques. Engagement tenu ! L’Alliance, symbole d’une rentrée scolaire innovante pour la réussite éducative La rentrée scolaire 2024 est marquée à Dunkerque par la mise en service de L’Alliance au Banc Vert, l’école du futur, et par l’augmentation de la dotation scolaire par élève. Deux atouts de plus en faveur de la réussite éducative, au profit des élèves et de leurs familles. C’est un immense sourire qui s’est affiché sur les visages du Banc Vert en ce 2 septembre, jour de rentrée scolaire. Et pour cause, le quartier de Petite-Synthe a vécu la mise en service de L’Alliance, le tout nouvel équipement public de l’îlot de vie. « Le bâtiment regroupe une école-maison de quartier et son restaurant scolaire, détaille Patrice Vergriete. Cet équipement a ainsi vocation à vivre sept jours sur sept ! Avec des plages horaires ouvertes à l’ensemble des habitants, qui pourront tour à tour profiter de la cour ou d’espaces mutualisés. » Imaginé dans le cadre des opérations nationales de renouvellement urbain engagées au Banc Vert, le projet a permis de passer de 5 000 m2 à 3 500 m2 : « Ce principe de sobriété foncière relaye nos objectifs en termes de développement durable. Le résultat, c’est une empreinte carbone exceptionnellement basse pour un équipement de cette envergure, avec des économies d’énergie et une désimperméabilisation des sols de l’îlot de vie. » Patrice Vergriete ajoute que le bâtiment, conçu par le cabinet d’architectes Tank, est équipé de panneaux solaires, relié au chauffage urbain et qu’il est également doté d’une cour buissonnière, où le végétal a retrouvé une place de choix, pour des récréations différentes et plus apaisées. « Si ce projet a pu voir le jour, précise de son côté Gilles Féryn, adjoint à l’éducation, c’est que chacun des partenaires a joué le jeu : les services de la Ville, l’équipe et les bénévoles de la maison de quartier ainsi bien évidemment que l’Éducation nationale, à travers les inspecteurs d’académie et les équipes pédagogiques, derrière Laëtitia Lefèvre, directrice de l’école maternelle, et Alexis Leclercq, directeur de l’école élémentaire. » C’est cette intelligence collective qui a permis au bâtiment de voir le jour, et c’est cette même capacité à vivre ensemble qui garantira demain son rayonnement sur l’ensemble de l’îlot de vie ! Avec ce tout nouveau vaisseau amiral, la flotte municipale en matière d’éducation a plus fière allure encore ! D’autant que la Ville, dès le mois de juin, a annoncé l’augmentation de la dotation scolaire par élève : « Nous sommes passés de 35 € à 50 € par enfant, rappelle Jean Bodart, maire de Dunkerque, soit un investissement supplémentaire de 130 000 €. Un cartable, une trousse à la charge des familles, la municipalité s’occupe du reste ! » Une mesure étendue aux communes associées de Fort-Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer, au même titre que les classes bonus et classes Vacances. « Notre leitmotiv demeure le même, insiste l’élu dunkerquois : zéro échec scolaire pour les 4 000 élèves de maternelle et d’élémentaire de la ville ! » Cette rentrée 2024 est d’ailleurs l’occasion pour la municipalité de se réjouir d’effectifs en hausse en élémentaire (+ 32 à Malo-les-Bains et + 40 à Dunkerque-Centre). Autant d’enfants qui désormais pourront tous profiter de classes reliées à Internet : un charriot de 10 ordinateurs portables est en outre disponible dans chaque classe ! « Ces investissements s’ajoutent à l’ensemble des dispositifs que la Ville déploie aux côtés de l’Éducation nationale, comme l’enseignement du néerlandais ou désormais de l’anglais, pour lutter contre le décrochage et l’échec scolaires, résume Patrice Vergriete : nos enfants ne doivent pas échouer ! Inscrivons-les dans les classes Bonus, où des enseignants les aident dans leurs devoirs ! Saisissons ces chances de les voir réussir ! » Le président de la CUD, premier adjoint à la Ville et parent lui aussi, profite de cette inspirante rentrée scolaire à Dunkerque pour rappeler les familles à leurs propres devoirs : « Nous devons respecter la sécurité de nos enfants sur le chemin de l’école en faisant l’effort de les accompagner à pied jusqu’à la classe et de ne pas les déposer en double-file ! Comme nous devons témoigner le plus grand respect aux équipes enseignantes : ce sont nos alliées dans l’éducation de nos enfants ! » Des chantiers de rénovation dans chaque quartier L ’été est la période propice pour mener des travaux dans les écoles quand bien même des opérations de maintenance sont mises en œuvre tout au long de l’année scolaire. Ils sont réalisés soit par une cinquantaine d’employés municipaux, soit par des entreprises originaires pour la plupart du Dunkerquois. Cet été 2024 n’a pas dérogé à la règle avec, entre autres, la réfection des chéneaux et des descentes d’eaux pluviales au groupe scolaire Dessinguez à Petite-Synthe, des travaux de peinture et de menuiserie à l’école de la Mer à Malo-les-Bains ou encore d’importants travaux d’isolation dans les écoles du Château d’eau à Dunkerque-Centre et Victor-Hugo à Rosendaël qui amélioreront le confort en classe tout en permettant à la Ville de réaliser de substantielles économies d’énergie. Mais le plus important chantier a eu pour cadre l’école Lamartine à Rosendaël avec la troisième et dernière phase du programme de rénovation de l’école qui a permis de réaliser une isolation par l’extérieur sur la façade ouest du bâtiment, de remplacer les menuiseries extérieures, la chaudière et l’éclairage, sans oublier l’installation de nouveaux sanitaires pour les enfants. Quant à l’école Jules-Ferry à Petite-Synthe, elle a vu son parvis agrandi et l’installation d’une fresque d’art urbain et d’une liaison graphique au sol jusqu’à l’Alliance dans le cadre d’une expérimentation de sécurité piétonne pilotée par la Communauté urbaine. Ces différents aménagements, complété par une mise en zone 30 de l’ensemble du secteur, font suite à des demandes des habitants du quartier Louis XIV dans le cadre de la Fabrique d’initiative locale « îlot apaisé ». Banc Vert : le rêve devient réalité ! Pour Johan Bodart, maire adjoint de Petite-Synthe, « le rêve devient réalité » avec la mise en service ce 2 septembre de L’Alliance. « C’est une formidable aventure humaine qui se prolonge. » Tout a commencé par un dialogue étroit avec l’inspection académique, les services départementaux de proximité, les équipes de la maison de quartier et les services de la Ville. Puis les travaux se sont engagés… « sans aucune plainte de nuisance par rapport au chantier, ni des habitants, ni des entreprises », relève l’élu de quartier. Désormais la belle histoire se poursuit au cœur d’un Banc Vert en pleine mutation : « La démolition de la résidence Creuse et des anciennes écoles interviendra d’ici la fin d’année, avant l’aménagement d’un parc urbain et de nouveaux espaces publics, puis la construction de nouveaux logements. » Un îlot de vie dont le cœur bat désormais d’un nouvel écho au sein d’une Alliance ouverte à tous, tous les jours ! Donner à tous les enfants les mêmes chances de réussite à l’école Classes Bonus, Classes Vacances, apprentissage précoce et innovant des langues…, la Ville multiplie les initiatives pour favoriser la réussite scolaire des 6 000 élèves des écoles primaires du Grand Dunkerque, tout en renforçant la gratuité avec une forte augmentation de la dotation de matériel scolaire, synonyme de gain de pouvoir d’achat pour les familles. Donner les mêmes chances à tous les petits Dunkerquois : c’est tout le sens des efforts consentis par la municipalité depuis 2014. Ils ont été concrétisés par la mise en place des Classes Bonus et des Classes Vacances, l’apprentissage précoce et innovant des langues étrangères dès la maternelle, sans oublier le dispositif de réussite éducative pour les familles les plus en difficulté. Elle va plus loin encore en cette rentrée 2024 en faisant passer la dotation de matériel de 35 € à 50 € par élève, ce qui veut dire que les familles de Dunkerque, Saint-Pol-sur-Mer et Fort-Mardyck ont juste à fournir un cartable et une trousse à leurs enfants, la Ville se chargeant de fournir le reste du matériel scolaire nécessaire. Elle a également apporté une aide financière accrue à chaque école pour l’achat de manuels scolaires et renforcé sa contribution financière aux sorties éducatives hors agglomération. Classes Vacances : une autre façon d’apprendre ! 180 élèves du CP au CM2 ont participé cet été aux Classes Vacances lors de deux sessions de 15 jours organisées par la Ville. Ils ont révisé les fondamentaux scolaires avec des professeurs volontaires le matin, avant de participer, l’après-midi, à des parcours éducatifs à vocation sportive, culturelle ou de découverte, avec en prime, le mercredi, une grande sortie à la journée dans un parc d’attractions. Encadrés par des animateurs municipaux, ils ont également été accompagnés dans ces activités ludiques par des professionnels de structures partenaires. Chaque participant a bénéficié, matin et soir, d’un ramassage en bus dans son quartier, ainsi que d’un service de restauration gratuit le midi. Rappelons que les Classes Vacances fonctionnent aussi lors des vacances scolaires d’hiver, du printemps et de l’automne en accueillant 30 enfants durant une semaine. Ville et CUD partenaires du sport à l’école La Ville met 15 éducateurs sportifs à la disposition des écoles élémentaires publiques et privées en partenariat avec l’Éducation nationale. Ils assurent l’enseignement d’une partie des cours de sport obligatoires du CP au CM2, à raison de trois heures hebdomadaires. 32 autres éducateurs sportifs municipaux assurent pour leur part, dans les piscines dunkerquoises, l’apprentissage de la natation au rythme d’un cycle de six semaines pour chaque élève. Quant à la Communauté urbaine, elle offre des stages d’apprentissage du patinage (CE1) et du golf (CM2) à 110 classes de l’agglomération. Des activités ludiques avant et après la classe, ainsi que le mercredi Qu’il s’agisse des maternelles ou des élémentaires, chaque école dunkerquoise bénéficie d’un accueil des élèves avant (dès 7 h 30) ou après la classe (jusqu’à 18 h 30). Ces 27 structures sont encadrées par 60 animateurs municipaux diplômés qui y développent des activités ludiques insérées dans un projet pédagogique spécifique. Soucieuses d’accompagner au mieux enfants et parents, et en particulier ceux qui travaillent, la Ville leur propose également quatre accueils de loisirs du mercredi avec repas. Ils sont ouverts aux élèves des écoles maternelles et élémentaires, en périodes scolaires, de 7 h 30 à 18 h 30 dans les groupes scolaires Neptune (Dunkerque-Centre), Peguy-Jaurès (Rosendaël), Samain (Petite-Synthe) et Kléber-Perrault (Malo-les-Bains). Ces accueils de loisirs municipaux reçoivent également les enfants, du lundi au vendredi, lors des vacances d’automne, de février et du printemps avec un seul changement de lieu : le groupe scolaire de la Mer-Hector-Malot prend le relais de Kléber-Perrault à Malo-les-Bains. Les tarifs varient selon le quotient familial des familles. Tél. 03 28 26 29 52. www.ville-dunkerque.fr. Un dispositif de réussite éducative pour les 2-16 ans Agir sur tout ce qui peut constituer un frein à la réussite des enfants. C’est tout le sens du dispositif de réussite éducative développé par la Ville avec le soutien de l’État, du CCAS, du Département et d’associations. Il s’agit de parcours individualisés, mis en place avec les familles, qui prennent en compte la vie scolaire de l’enfant ou de l’adolescent, sa santé, mais également un soutien aux démarches administratives. Des aides peuvent être octroyées pour régler des frais médicaux, des soins dentaires ou des équipements orthopédiques… ou pour financer une licence sportive. Une éducatrice et une travailleuse sociale sont ainsi mobilisées pour accompagner 150 enfants âgés de 2 à 16 ans, hors temps scolaire Service réussite éducative, Direction de l’Enfance. Contact : dredunkerque@ville-dunkerque.fr. Classes Bonus : un accompagnement sur-mesure pour tous les élèves Tous les élèves des écoles élémentaires publiques peuvent bénéficier d’une aide aux devoirs, assurée par des professeurs en activité ou retraités. 700 enfants scolarisés à Dunkerque sont ainsi inscrits aux Classes Bonus ouvertes les lundis et jeudis après la classe. Financées à 100 % par la Ville, elles sont étendues cette année aux écoles de Fort-Mardyck et de Saint-Pol-sur-Mer qui adapte son dispositif de « l’Aide aux Leçons » au modèle dunkerquois. L’anglais « made in Dunkerque » au Cours préparatoire ! Expérimenté avec succès l’an dernier dans six écoles maternelles grâce à un fructueux partenariat entre la Ville et l’Éducation nationale, l’apprentissage de l’anglais en « grandes section » se poursuit dans ces classes cette année, mais également, et c’est une première, dans les cours préparatoires intégrés à ces groupes scolaires (Perrault-Kléber à Malo-les-Bains, Louise-de Bettignies à Rosendaël, l’Alliance à Petite-Synthe, André-Nita en Basse Ville et Lucien-Maillart au Jeu de Mail). Un apprentissage « made in Dunkerque », car il ne s’agit pas à proprement parler de cours d’anglais traditionnels. Une fois encore Dunkerque innove en intégrant la langue anglaise de manière ludique à chaque matière enseignée (sport, art, musique, sciences, Histoire, mathématiques…). Ces cours en anglais, au CP, bénéficieront de supports numériques telles les tablettes et les grands écrans, tandis que les animateurs des accueils périscolaires seront spécialement formés, tant en maternelle qu’en élémentaire. Quant à l’apprentissage du Néerlandais, il poursuit son chemin depuis 2019 à Rosendaël, aussi bien à l’école maternelle Savary, berceau de l’expérimentation, qu’à l’élémentaire Felix-Coquelle où des cours sont dispensés du CP au CE2. L’école Lamartine au Mémorial de Caen La Ville augmente cette année le budget alloué aux sorties pédagogiques organisées hors agglomération. C’est ainsi que l’école élémentaire Lamartine à Rosendaël enverra 75 élèves de CE2, CM1 et CM2 visiter le Mémorial de Caen ainsi que les plages du débarquement en Normandie. « Nous développerons ce projet avec les enfants en trois temps, explique Agathe Meesemaecker, d i r e c t r i c e d e l’école. Il y aura d’abord un travail de mémoire dans le quartier qui sera réalisé à partir des noms de rues de résistants rosendaëliens et qui sera complété par des témoignages de représentants d’associations d’anciens combattants. Puis nous irons visiter le Fort des Dunes et le Musée Dynamo, avant un déplacement de deux jours à Caen programmé au printemps. L’idée est de terminer ce parcours sur le thème de la paix avec en apothéose un spectacle de chants préparé par les enfants avec le concours de professeurs du Conservatoire de musique et d’art dramatique (CMAD). » Pouvoir d’achat et qualité des repas, le ticket gagnant de la cantine dunkerquoise Des repas de qualité servis désormais majoritairement en liaison chaude et à des tarifs en adéquation avec le pouvoir d’achat des familles, telle est aujourd’hui la recette d’une cantine dunkerquoise largement plébiscitée par les enfants et leurs parents ! Avec 3 000 demi-pensionnaires chaque jour, la pause méridienne prend toute sa place dans le dispositif de réussite éducative déployé par la municipalité. Le pouvoir d’achat figure parmi les préoccupations majeures des familles ; et donc depuis 2014 parmi celles de la municipalité, qui travaille à soulager au quotidien le budget des foyers dunkerquois : pour les mobilités par exemple avec le bus gratuit, comme pour l’éducation avec l’augmentation de la dotation scolaire par élèves, ou avec la refonte des tarifs de restauration scolaire. Un an après la mise en place d’une grille tarifaire progressive, indexée sur les ressources des familles, le dispositif est plébiscité par les Dunkerquois : avec une hausse des inscriptions de 18 %, ce sont ainsi 200 enfants de plus qui mangent quotidiennement dans les restaurants scolaires de la ville, pour un total de 3 000 élèves. Grâce aux tarifs votés en 2023, 6 ménages sur 10 payent moins cher qu’avant le repas de leur enfant ! La tarification la plus basse est passée de 1,36 € à 0,75 € par repas, tandis que la plus élevée reste plafonnée à 6,29 € (soit, il y a un an lors de la mise en place du dispositif, une augmentation de 5,9 % alors que la progression du coût des denrées alimentaires culminait à 12 %.) Dans les cantines dunkerquoises, la restauration du pouvoir d’achat, c’est donc déjà une réalité ! Une cantine moins chère, mais tout aussi qualitative ! Symbole de la volonté municipale de proposer un service de restauration scolaire en phase avec les exigences de santé publique, L’Alliance, qui s’ouvre ces jours-ci au Banc Vert, dispose d’une véritable cuisine centrale : la seconde dans notre ville, après celle de la Meunerie. Au cœur du nouvel équipement, seront produits chaque jour quelque 600 repas : 230 consommés sur place par les petits demi-pensionnaires du nouveau groupe scolaire, une partie de leurs copains de Jules-Ferry et ceux d’Andersen ; le reste des repas préparés à Petite-Synthe alimentant les autres cantines du quartier. L’impact de L’Alliance sur le territoire dunkerquois est tel que, pour la première fois, les sites desservis en liaison chaude seront plus nombreux que ceux alimentés en liaison froide : Dunkerque passe ainsi de 4 points en liaison chaude à 9 points et de 13 à 8 en liaison froide. Une tendance qui permet d’envisager un équilibre prochain en nombre de repas, 1 400 enfants bénéficiant en 2024 d’une liaison chaude contre 1 600 en liaison froide. Outre L’Alliance, ce progrès profite cette année à la Meunerie, André-Nita, Lucien-Maillard, Louise-de-Bettignies, Alphonse-de-Lamartine, Alain-Savary, Château d’eau et Tente Verte. Autre nouveauté de cette rentrée 2024 pour les petits Fort-Mardyckois : ils iront manger à la salle Bornais, à Petite-Synthe. En attendant la construction de son restaurant scolaire, la commune associée pourra ainsi dès cette année accueillir l’ensemble de ses demi-pensionnaires d’élémentaires sur un seul site. Jusqu’alors, les enfants devaient en effet se rendre en bus à Petite-Synthe (Meunerie et Dessinguez), à Dunkerque-Centre (Lucien-Maillart) ou à Saint-Pol-sur-Mer. L’année qui vient permettra ainsi aux équipes fort-mardyckoises de se former à la gestion de la future cantine, dont la livraison est programmée en 2026. Dans la même logique d’anticipation et pour faire face à l’augmentation des effectifs de demi-pension, la Ville et le Département engagent dès cette rentrée le principe d’une passerelle entre l’école et le collège, sur le temps de pause méridienne. Ainsi, 200 élèves d’élémentaires iront manger dans les collèges de leur secteur : à Lucie-Aubrac pour les Petit-Synthois de Jules-Ferry, Jean-Zay, Trystram et du Torpilleur ; à Paul-Machy pour les enfants de Félix-Coquelle. Au collège, les élémentaires bénéficieront d’une liaison chaude et du choix de leur repas, bonus inhérent au self-service. Afin de favoriser une transition en douceur dans un environnement nouveau pour eux, les petits demi-pensionnaires passeront en premier service, avant les collégiens. Un dispositif qui ne change rien pour les familles dont la Ville demeure l’interlocuteur. Sachez enfin que 50 000 € de matériels seront investis cette année dans les différents restaurants scolaires de la ville. S’ajoute, pour cette rentrée, l’achat d’un camion électrique destiné à la livraison des repas, à partir de L’Alliance et de la Meunerie vers les sites de Bettignies et Lamartine à Rosendaël ou Nita et Maillart à Dunkerque-Centre. Une assiette de qualité Si les restaurants scolaires enregistrent une hausse de fréquentation à Dunkerque, c’est évidemment la conséquence de la nouvelle grille tarifaire votée en 2023, mais pas seulement. La qualité des repas proposés dans les 17 cantines dunkerquoises y est également pour beaucoup. Ainsi la Ville répond aujourd’hui aux objectifs définis par la loi EGalim, qui précise que les repas doivent comporter au moins 50 % de produits durables et de qualité, dont au moins 20 % de bio. En 2024, Dunkerque va même au-delà avec déjà 56 % d’achats de produits issus de l’agriculture saine, durable et de qualité, dont 23 % de bio ! De la même façon, la Ville respecte le rythme d’un repas végétarien hebdomadaire fixé par les états généraux de l’alimentation. Pour tenir ces engagements, les réseaux d’approvisionnement de la collectivité s’étoffent année après année à partir notamment de la surface agricole communautaire : 13 153 ha répartis sur 175 sièges d’exploitation. Bien que modeste, la part du bio, 86 ha, est exploitée par une quinzaine de structures. Elles produisent principalement du maraichage diversifié, ainsi que des plantes aromatiques et médicinales. Un unique exploitant, aujourd’hui, développe la grande culture. Repères 18 % de demi-pensionnaires en plus dans les cantines scolaires dunkerquoises depuis un an et la mise en place de la nouvelle tarification, progressive selon les revenus des familles. 3 000 le nombre d’élèves de maternelle et d’élémentaire inscrits à la cantine dans notre ville. 200 le nombre de demi-pensionnaires des classes élémentaires qui mangeront cette année au collège, dans le cadre de passerelles expérimentées entre la Ville et le Département. L’occasion pour eux de se servir au self et de prendre quelques repères avant leur entrée dans le secondaire ! « Les Polyfolies », trois jours de fête de la musique à Saint-Pol-sur-Mer ! Saint-Pol-sur-Mer vivra au rythme du Festival international de musique « Les Polyfolies », les vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 septembre. Auditions, défilés, soirée festive, concert de prestige de la Garde Républicaine…, il y en aura pour tous les goûts lors de cette fête de la musique organisée avec le concours de la Communauté urbaine. Saint-Pol-sur-Mer et la musique, c’est une histoire d’amour qui rime avec toujours ! Personne n’a oublié Ernest Vermet et ses musiciens, ni les Demoiselles de Saint-Pol, qui ont porté haut les couleurs de la commune associée, durant des années, dans l’Europe entière. C’est pourquoi, Christophe Claeys, maire délégué, a souhaité « redonner à la musique la place qu’elle mérite à Saint-Pol-sur-Mer » en organisant le festival international « Les Polyfolies » et en sachant que le dernier rendez-vous de ce type remonte à 2009. C’est pourquoi également Patrice Vergriete et la Communauté urbaine se sont associés au projet pour en faire un événement majeur, de même ampleur que le festival “Allure Folle” qui fait entrer la danse dans le quotidien des habitants au début de l’automne. « Organisé sur trois jours, les 27, 28 et 29 septembre, “Les Polyfolies” seront éclectiques et résonneront dans toute la ville et au-delà, avec des concerts offerts dans l’agglomération », se réjouit Rémy Becuwe, conseiller communautaire aux festivals. Le coup d’envoi de l’événement sera donné le vendredi 27 septembre, à 17 h, à la salle Jean-Vilar du centre Jean-Cocteau où vous pourrez danser et participer à des quiz musicaux au son de l’accordéon, avant un concert offert, à 18 h, par les classes de musiques actuelles (rock, jazz, chant…) de l’académie de musique et le groupe DKasuals. Vous serez ensuite invité à participer à la grande chorale éphémère accompagnée par l’ensemble vocal Mélodies (de 19 h 15 à 19 h 50) en prélude à la cérémonie d’ouverture du festival programmée à 20 h 30 sur le terrain de football jouxtant le centre Romain-Rolland. Il s’agit d’une soirée Bandas et musiques festives avec un service de restauration, qui sera animée par les ensembles La Band’As Co, FMR Street Band et Band’Amis qui enchaîneront des sets en alternance jusqu’à minuit avant de se réunir pour le final. Les mélomanes prendront la direction du parc Prigent, le samedi 28 septembre, où plusieurs concerts leur seront proposés à commencer, dès 14 h, par la scène ouverte aux jeunes chanteurs du Dunkerquois. Puis, l’Orchestre municipal d’accordéons de Saint-Pol-sur-Mer entrera en action (de 15 h 15 à 16 h), suivi du Marching Band et des Demoiselles de Saint-Pol-sur-Mer pour un répertoire de variétés internationales (de 16 h 15 à 17 h). La Garde Républicaine en invitée d’honneur La soirée du samedi 28 septembre aura pour cadre le centre Romain-Rolland où un concert de prestige gratuit (sur réservation à partir du 17 septembre) sera offert à partir de 20 h. Après une première partie assurée par les 80 musiciens de l’harmonie-batterie municipale de Saint-Pol-sur-Mer, dirigée par Franck Tuytten, ce sont les tambours et l’orchestre d’harmonie de la Musique de la Garde Républicaine qui interpréteront des œuvres de Bach, Berlioz, Ciesla, Liszt... Le dimanche 29 septembre, de 11 h à 12 h, ce sont neuf ensembles musicaux qui vont se produire dans les communes de l’agglomération, dont l’orchestre d’harmonie de la Garde Républicaine à l’affiche place Jean-Bart. Après cette mise en bouche musicale, place sera faite au défilé qui réunira 20 formations à 14 h 30 au départ du centre Romain-Rolland, avenue Maurice-Berteaux. Les quelque 700 musiciens remonteront les rues Victor-Hugo et Trystram pour rejoindre la rue de la République puis la place de la mairie pour un grand show programmé vers 19 h avec, en final, l’interprétation des hymnes nationaux et du célèbre « C’est Saint-Pol-sur-Mer » ! Programme complet sur www.ville-saintpolsurmer.fr En avant la musique ! Outre la Garde Républicaine et l’harmonie-batterie municipale de Saint-Pol-sur-Mer, ce festival international réunira les formations suivantes : le Bagad Salicornes, la fanfare de Chézy-sur-Marne, La Vaillante show & marching band de Saint-Quentin, l’orchestre batterie fanfare La Renaissance de Marcq-en-Barœul, les Italiens du Brianza Parade Band et ses lanceuses de drapeaux, les Hollandais du Showand Marching Band MVB de Maastricht, les Belges du Royal Fasam Orchestra, la Musique de la Police Royale d’Anvers, les harmonies de Dunkerque, Fort-Mardyck Cappelle-la-Grande, Ghyvelde, CoudekerqueBranche, Leffrinckoucke, Bergues, Watten, Wormhout-Hondschoote, sans oublier la Confrérie des Tambours-Majors. Un musée au Grand Large pour raconter l’histoire et l’identité de notre territoire Le Musée des beaux-arts prendra ses quartiers au Grand Large, sur la pointe de la Cunette, face au port de plaisance. Installé sur 4 000 m2, répartis sur deux niveaux, il sera combiné à un programme d’habitation (une soixantaine de logements) à l’architecture forte, posé comme un phare face à la mer. Les travaux de construction devraient débuter mi-2027, sous l’égide de la Communauté urbaine, pour une ouverture mi-2030. Facilement accessible à pied comme à vélo, le futur Musée des beaux-arts bénéficiera des services de la ligne de bus gratuit chrono C4. Il s’inscrit ainsi au cœur d’un parcours muséal exceptionnel, à proximité du Lieu d’Art et Action Contemporaine (LAAC), du Fonds Régional d’Art Contemporain (FRAC Grand Large Hauts de France) et du Musée Dunkerque 1940 - Opération Dynamo, sans oublier le Musée maritime et portuaire en Citadelle. « Le Musée des beaux-arts, qui changera de nom au passage, repose sur un concept totalement innovant, se réjouit Patrice Vergriete. Tout comme la B!B n’a rien à voir avec une bibliothèque traditionnelle, le Musée des beaux-arts, nouvelle version, sera non seulement très différent de l’ancien modèle, mais ne ressemblera pas à un musée tel qu’on l’entend généralement. Comme la B!B en effet, ce sera un lieu de vie et de bien-être, d’éducation populaire afin de rendre les œuvres accessibles au plus grand nombre, et d’ouverture sur le monde. Cette invitation au voyage dans le temps et dans l’espace, permises par les riches collections du musée, offrira un nouveau regard sur Dunkerque et sur ses habitants. » L’organisation du futur musée est fondée sur son projet scientifique et culturel validé en décembre 2020 par le conseil municipal puis, quelques mois plus tard, par les services de l’État. Elle repose sur quatre pavillons d’exposition thématiques : « Dunkerque et son histoire » racontée par quelque 250 objets ; « Dunkerque, extraordinaire » qui inclura le carnaval dans toutes ses composantes (musique, mode, parler, place du féminin…) et qui fera la part belle aux spécificités de notre ville et à son imaginaire ; « Nous, Dunkerquois », qui présentera des personnalités dunkerquoises passionnées d’art, à la fois étonnantes et curieuses, et ayant marqué notre territoire ; enfin, « Un trésor à partager » mettra en avant les œuvres phares du musée, objet de fierté des Dunkerquois. Les collections seront expliquées par des médiateurs, et accessoirement, au moyen de nouveaux médias pour les plus jeunes notamment. À ces quatre pavillons thématiques s’ajouteront quatre places sociales scénographiées : un café société, un labyrinthe pour les enfants, un espace dédié aux petits événementiels et un ensemble B!B-arto-ludothèque. « Pas moins d’un millier d’œuvres ou objets seront présentés au public lors de l’accrochage inaugural programmé en 2030, précise Sophie Warlop, conservatrice, en sachant que des rotations régulières permettront de faire découvrir d’autres pans de la collection. N’oublions pas que le Musée possède 25 000 objets et œuvres, tous parfaitement conservés et répertoriés ! » Avec ce futur musée, Communauté urbaine et Ville comptent franchir le cap des 100 000 entrées annuelles contre les 9 000 enregistrées au temps de l’ancien Musée des beaux-arts, installé en centre-ville sur le site de l’actuelle B!B. Le carnaval, une œuvre collective à part entière ! Élément fort du patrimoine dunkerquois, le carnaval aura toute sa place dans le musée qui ouvrira ses portes en 2030 au Grand Large. « Jusqu’à présent timide, la rencontre du musée et du carnaval sera décidée, entreprenante et impertinente ! » promet Sophie Warlop, conservatrice. Qu’il s’agisse d’objets, de vêtements ou de chansons, le futur musée ne manquera pas de supports pour expliquer à ses visiteurs et aux Dunkerquois ce rituel de fête ; il racontera l'histoire, les influences et les évolutions de cette énergie collective propice au bienêtre physique et psychique. Car le carnaval est bien une œuvre collective à nulle autre pareille qui a toute sa place dans un musée ! En attendant, la direction des musées vous lance un appel : si vous disposez d’objets rares ou anciens ou encore portés par des personnalités de la ville, n’hésitez pas à contacter le LAAC au 03 28 29 56 00. Il en va de même pour tout objet symbolique ou costumes comme, par exemple, ceux portés après-guerre ou encore les tenues d’écolières en vichy des années 1960-70. Les photographies rares et les bonnes anecdotes sont également les bienvenues ! Des réserves muséales mutualisées, en 2028, au Banc Vert En parallèle à l’ouverture du futur Musée des beaux-arts, la Communauté urbaine avance tambour battant sur le projet des réserves muséales mutualisées qui doit être concrétisé, en 2028, sur le site de l’Ecopark au Banc Vert, à Petite-Synthe. Trois cabinets d’architectes planchent sur le futur équipement depuis février dernier, le lauréat devant être désigné ces prochaines semaines. Il sera alors temps de penser au lancement du chantier programmé en juin 2026 pour une durée de 18 mois. Quant à l’année 2028, elle sera réservée aux différents tests de vérification des conditions climatiques des réserves et au transfert des collections du LAAC, du Musée du dessin et de l’estampe originale de Gravelines et du Musée des beaux-arts, aujourd’hui entreposées en région parisienne. Un voyage pittoresque au cœur des collections Le troisième opus de la collection des « Voyages pittoresques au cœur des collections de Dunkerque » vient de sortir. Édité par la Ville, il est disponible au LAAC au prix de 32 €. Riche de 208 pages et largement illustré, ce catalogue rassemble de nombreux articles passionnants qui permettent de découvrir les derniers travaux de recherche et d’approche des œuvres, de présenter les points forts des collections et les moyens de les faire connaître au grand public via la médiation. Il offre également une large place au futur musée novateur et inclusif porté par la Ville et la Communauté urbaine. Dunkerque et Krefeld, une amitié franco-allemande qui dure ! Le jumelage entre Dunkerque et Krefeld fête cette année son 50e anniversaire ! Ce lien, noué dans un esprit de réconciliation entre les deux peuples, est aujourd’hui plus solide que jamais. En effet, les deux villes multiplient les échanges impliquant en particulier la jeunesse, tandis qu'une rue de Krefeld vient d'être créée à Dunkerque. Située en Rhénanie du Nord-Westphalie, à trois heures et de demie de voiture de la cité de Jean Bart, Krefeld (230 000 habitants) présente de nombreuses similitudes avec Dunkerque : c’est une ville industrielle, très largement reconstruite après-guerre et dotée d’un port fluvial. Le jumelage a repris des forces en 2022 lorsque Jean Bodart, aujourd’hui maire de Dunkerque, s’est rendu en Allemagne à la tête d’une délégation d’élus. La diffusion du « Carnet de Léon » Outre-Rhin a aussi été un élément moteur en termes d’échanges. Créé par la Ville, ce formidable outil pédagogique à destination des scolaires raconte la période de la guerre à travers les yeux de Léon, un jeune Dunkerquois de 11 ans. Il a fait des émules à Krefeld, où des élèves et enseignants ont créé une version allemande intitulée « Emma und der Krieg » qui est désormais utilisée par des professeurs d’allemand du Dunkerquois ! L’an dernier, une délégation dunkerquoise, composée d’élèves du collège Guilleminot et du lycée professionnel de l'Île Jeanty, s’est rendue en Allemagne à l’occasion du 650e anniversaire de la création de Krefeld (voir témoignages). Les liens tissés se développent puisque les Allemands sont venus cette année visiter leurs homologues. L’allemand sera enseigné à l’Île Jeanty et des projets d’échanges de stages professionnels sont en réflexion. Les élus du conseil municipal d’enfants de Dunkerque, Fort-Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer se sont également rendus à Krefeld en juin dernier. Accueillis par les CME allemands, ils ont été reçus par Frank Meyer, maire de Krefeld, avant de bénéficier d’une visite guidée de la ville. De son côté, Dunkerque a accueilli, le 2 juin, au Théâtre municipal, l’orchestre symphonique du Bas-Rhin (notre photo), avant que le conseil municipal ne vote à l’unanimité, le 19 juillet, la dénomination « rue de Krefeld » qui correspond désormais à une partie de l’avenue du Stade comprise entre le pont de Rosendaël et le rond-point Louise-Michel. Une Fabuleuse Factory à la plage pour changer le regard sur l’industrie Face aux enjeux climatiques, économiques et sociaux de notre époque, Dunkerque a choisi de transformer en profondeur son tissu industriel et d’innover pour inventer l’industrie du futur, plus vertueuse, décarbonée et créatrice de 20 000 emplois nouveaux. La Fabuleuse Factory vous la fera découvrir gratuitement, du mardi 10 au dimanche 15 septembre, place du Centenaire. La Fabuleuse Factory est un rendez-vous désormais bien ancré dans l’agenda de la rentrée dunkerquoise. La troisième édition de cette manifestation dédiée aux métiers de l’industrie se déroulera cette année non plus place Jean-Bart, mais place du Centenaire, sur la digue. L’an dernier, l’événement a attiré plus de 9 000 visiteurs, dont 3 000 scolaires. Les jeunes sont en effet les premiers concernés par les nouvelles implantations d’usines et les nombreuses opportunités professionnelles qu’elles suscitent. Organisée cette année en parallèle des 25es Assises Européennes de la Transition Énergétique, qui se tiennent du 10 au 12 septembre au Kursaal, la Fabuleuse Factory est ouverte à tous, notamment aux élèves et étudiants du territoire, mais aussi aux personnes en recherche d’emploi et/ ou en reconversion, et plus globalement à tous les habitants curieux de découvrir et de comprendre les transformations en cours. Cette année, la Fabuleuse Factory installe ses cinq dômes sur la place du Centenaire, en front de mer. Une fois encore, tout est pensé pour que le parcours soit attractif, ludique et interactif : démonstrations, expériences, visites en immersion 3D, jeux vidéo, serious games, challenges, quiz… Les visiteurs pourront ainsi découvrir des projets de décarbonation (Aluminium Dunkerque, ArcelorMittal, Ball Packaging & Coca-Cola Production…), les projets énergétiques du territoire (Dunkerque LNG, EDF, Engie, H2V, RTE…), les industriels de la batterie (Orano – XTC New Energy, ProLogium, Verkor) qui ont choisi notre territoire pour se développer, les PME/PMI sous-traitantes représentées par Gassmeid et le GIP NO, sans oublier les acteurs de la formation (AFPA, IMT, ULCO). Un cinquième dôme accueillera les acteurs associatifs et ceux de l’éducation populaire : ATMO, l’Observatoire Local de la Santé (ESL), le SPPPI, la CLI, le Palais de l’Univers et des Sciences (PLUS) et le FRAC. L’événement est porté par ÉcosystèmeD, structure issue de la fusion d’Euraénergie et de Dunkerque Promotion, avec le soutien de la Communauté urbaine, de l’Union Européenne, du Grand port maritime, de la Chambre de Commerce et d’Industrie Littoral Hauts-de-France et de la Communauté de Communes des Hauts-de-Flandre. Il sera complété, le mardi 26 novembre, au Kursaal, par le Forum des Fabuleux Métiers, spécifiquement axé sur l'orientation et la formation. Fabuleuse Factory, place du Centenaire, du mardi 10 au dimanche 15 septembre, de 9 h à 18 h en semaine et de 13 h 30 à 18 h 30 le week-end. Dunkerque agit contre les rejets de plastiques en mer À l’initiative de la Ville et de la CUD et avec le concours d’associations, Dunkerque poursuit sa lutte contre les rejets de plastiques en mer. Vous pourrez découvrir toutes les actions développées par les partenaires, les 5 et 6 octobre, au village « Plage sans plastique » ouvert à tous quai des Hollandais. 80% des déchets marins proviennent des activités à terre et les trois quarts d’entre eux sont des matières plastiques. C’est peu dire qu’ils ont un fort impact sur la biodiversité marine et sur les poissons et crustacés que nous aimons savourer. « Déjà exemplaire en matière de décarbonation, notre territoire se veut tout aussi proactif pour préserver l’espace maritime qui borde nos longues plages de sable fin, explique Laurent Mazouni, adjoint au maire en charge de la transition écologique et de la résilience urbaine. Et cette politique de prévention ne se limite pas à nos comportements au bord de mer, car un emballage plastique jeté n’importe où en centre-ville ou au cœur des quartiers présente tous les risques de finir sa course en mer, via notre lacis de canaux ou les bassins du port. C’est pourquoi, la Ville, la Communauté urbaine et les Dunes de Flandre ont décidé de fédérer les initiatives locales qui luttent contre la pollution plastique. » Le coup d’envoi de la démarche a été donné en août 2021 à l’occasion de l’étape dunkerquoise du village Plastic Odyssée au Bassin du Commerce. Suite à un diagnostic des déchets réalisé sur la plage et les bassins du port de plaisance, un plan d’action a été intégré à une charte « Plage sans déchets plastiques ». Il comprend 15 engagements qui reposent à la fois sur la sensibilisation, l’information, la collecte et le tri des déchets : mise en place, en centre-ville et sur la plage, de panneaux d’information sur les principaux déchets retrouvés sur notre littoral et leur impact sur le milieu marin ; interventions dans les écoles , les accueils de loisirs et conseils municipaux d’enfants ; utilisation d’objets non plastiques lors de grands événements organisés par la CUD, la Ville et leurs partenaires ; installation de poubelles triple tri, de bacs à marée et autres points d’apport volontaire sur la plage ; renforcement des équipes de ramassage des déchets sur le sable en période estivale ; partenariat avec les commerçants de la digue afin qu’ils renoncent aux pailles et couverts en plastique jetables… Un week-end « Plage sans plastique », les 5 et 6 octobre, quai des Hollandais Le village Plage sans plastique vous accueillera le samedi 5 octobre, de 10 h à 17 h 30, quai des Hollandais. Vous y découvrirez toutes les initiatives développées par la Ville, la CUD et les Dunes de Flandre avec leurs partenaires associatifs (CPIE Flandre maritime, DK Clean Up, Fabrique Verte, À Tes Côtés…) pour lutter contre cette pollution qui détruit l’environnement marin à petit feu. Par ailleurs, plusieurs conférences et projections seront proposées à l'hôtel communautaire. Elles seront consacrées à l’écosystème de notre mer du Nord (samedi 5 à 14 h 30), aux impacts des pollutions et du changement climatique sur les oiseaux (samedi 5 à15 h), à la photographie animalière (samedi 5 à 16 h), aux évolutions des colonies de phoques sur notre littoral (dimanche 6 à 14 h 30), aux chemins littoraux (dimanche 6 à 15 h 30) et aux oiseaux pélagiques (dimanche 6 à 16 h 30). De même, une exposition photographique naturaliste aura pour thème l’impact de l’homme et du plastique sur la biodiversité de notre région. Un nouvel Office de commerce à l’échelle du Grand Dunkerque Initié au printemps 2015 par Patrice Vergriete, président de la Communauté urbaine, pour renforcer l’attractivité du centre-ville, cœur d’agglomération, l’Office de commerce de Dunkerque ouvre une nouvelle page de son histoire en actant son élargissement aux communes associées de Saint-Pol-sur-Mer et Fort-Mardyck. «La transformation en cours de notre territoire doit également profiter aux commerçants, souligne Jean-Pierre Vandaele, adjoint au Commerce, à l’Artisanat et aux PME. Cela passe par des collaborations et des échanges permanents, mais également par un soutien à leurs initiatives pour animer nos communes. Et elles ne manquent pas, car nous avons la chance d’avoir des commerçants dynamiques ! L’idée générale se résume à une question : comment faire mieux ensemble ? » Afin d’enclencher la vitesse supérieure, le désormais Office de commerce du Grand Dunkerque s’est renforcé avec la création d’un service dédié - la Mission Commerce - afin de simplifier la prise de contact des commerçants et de leur apporter des réponses rapides sur les principaux sujets qui les concernent au quotidien (propreté, sécurité, logistique…). Plus généralement, l’Office de commerce a repensé son mode d’organisation qui repose dorénavant sur un bureau composé de 12 membres, élus des trois communes associées, représentants institutionnels (Chambre de métiers et Chambre de commerce) et représentants des commerçants et associations de commerçants. Ce bureau se réunira quatre fois par an afin de définir la stratégie et la programmation de l’Office qu’il présentera deux fois l’an à une assemblée plénière riche de 23 membres. En parallèle, une commission d’attribution des aides, composée d’élus et de techniciens municipaux, se réunira à rythme régulier afin d’apporter un soutien financier à des initiatives participant à l’attractivité du commerce de proximité, tandis que des groupes de travail thématiques plancheront sur des thèmes précis intéressant directement les commerçants. Outre une vision collective et les enjeux du territoire qu’elle permettra de partager entre les acteurs concernés, cette nouvelle organisation de l’Office de commerce renforcera le soutien apporté par les communes associées et la Communauté urbaine au commerce de proximité. Elle contribuera également à développer la concertation et à stimuler le débat avec l’ensemble des partenaires et acteurs locaux autour de l’évolution du secteur commercial aussi bien dans les quartiers qu’en centre-ville et ce, en cohérence avec les projets urbains initiés par la collectivité et les investisseurs privés. Mission Commerce, Maison de l’Armateur, 15, rue Faulconnier. Tél. 03 28 26 28 36. Dix ans d’action municipale… pour un nouvel élan à Petite-Synthe Oui « l'ouest de Dunkerque a droit au beau » ! Au-delà de la formule, l’équipe municipale a, tout au long des dix années écoulées, joint le geste à la parole à Petite-Synthe, un quartier en plein renouveau. Du pont du Triangle rénové au boulevard Simone-Veil, en passant par la base de loisirs du fort, la création de plus d’un millier de logements, le réaménagement des voiries ou le mur antibruit le long de l’A16, la métamorphose saute aux yeux. Sans oublier, en parallèle, la création et la co-construction de fêtes et temps de partage essentiels à l’animation de nos rues. Coup d’œil dans le rétro, îlot de vie par îlot de vie. 1. Dessinguez - Lapin-Blanc : un pont qui nous rapproche Remis en service en avril 2016, le pont du Triangle est symbolique de la volonté municipale à l’ouest : il a permis de reconnecter Saint-Pol-sur-Mer, Petite-Synthe et Fort-Mardyck, puis d’initier la refonte du réseau de transport en commun. C’est un trait d’union avec les communes associées et notamment Fort-Mardyck, autour du quartier Dessinguez. Ont suivi la mise en sens unique de la rue du Lapin Blanc, l’aménagement des abords de l’école, la réalisation d’un espace vert de proximité près des terrains de foot, conformément aux termes du contrat d’îlot passé au printemps 2016. Au-delà de ces réalisations, des liens se sont tissés avec Fort-Mardyck à l’occasion des fêtes communes de la Saint-Martin et du carnaval. Désormais, les Petit-Synthois de Dessinguez - Lapin-Blanc peuvent, en mairie de la commune associée, effectuer leurs démarches administratives. 2. Saint-Nicolas : une revitalisation essentielle Dès 2014 et jusqu’à cette rentrée 2024, la Mairie de quartier de Petite-Synthe a gardé le cap d’une revitalisation essentielle du secteur Saint-Nicolas. Comptant parmi les centralités commerciales du quartier, l’îlot de vie s’est inscrit dans un long processus de réécriture urbaine. Premiers à en profiter, les élèves du groupe scolaire de la Meunerie et leurs parents ont bénéficié du réaménagement de la voirie et de l’installation d’une nouvelle aire de jeu. Puis en Fabrique d’initiatives locales, les habitants ont esquissé les principes d’un mail paysagé qui irriguerait le lotissement en cours de construction. Dix ans plus tard, les derniers chantiers se terminent : ils ont permis en amont la création d’une maison de santé pluridisciplinaire. De nouveaux riverains vont désormais s’installer et faire revivre Saint-Nicolas. Pour les accueillir et les accompagner, la Ville leur consacre un budget participatif : 20 000 € à investir dans l’animation… au gré de leurs envies ! Enfin, dernier chantier, mais non des moindres, la rénovation complète de l’avenue de Petite-Synthe s’est engagée en 2023. 3. La place Louis-XIV sous le soleil En 2021, la Mairie de quartier lance une Fabrique d’initiatives locales autour de la place Louis-XIV. L’objectif : apaiser l’îlot de vie, au profit notamment des continuités piétonnes et de la sécurisation des enfants. Ont ainsi suivi l'adaptation du régime de circulation autour de la place (réaménagée en fin de mandat précédent), la réalisation d’un parvis pour l’école Jules-Ferry, l’instauration d’une vaste zone 30, la création d’un temps de convivialité et de partage, Place au soleil !... Ces initiatives participent également à restaurer l’attractivité commerciale de la place et de son marché hebdomadaire. Le secteur a aussi vu l'arrivée de la B!B et de l'antenne d'Entreprendre Ensemble en 2019, de l'antenne du CCAS et de l'agence postale communale en 2021. 4. Le Banc Vert engagé dans une opération de renouvellement urbain En décembre 2021, au Banc Vert, les grues s’attaquent à la démolition de la vétuste résidence Gambetta. L’îlot de vie entre alors dans une vaste opération de renouvellement urbain, engagée par la collectivité avec le concours de l’État. Le projet prévoit de supprimer quelque 160 logements collectifs, pour les remplacer en partie par une offre plus diversifiée, par l’aménagement d’un parc et par la construction d’un équipement public innovant, L'Alliance. Ces opérations au long cours ont été préparées dans la concertation avec les habitants. La construction des nouveaux logements sur l’emprise de la résidence Creuse devrait démarrer en 2025. 5. Boulevard Simone-Veil : tellement plus qu’un simple axe routier ! Souvenez-vous de cette portion de la D601 reliant Petite-Synthe à Dunkerque-Centre : une autoroute en pleine ville avec son canal bétonné et sinistre… Aujourd’hui, l’ex-pénétrante, rebaptisée boulevard Simone-Veil en décembre 2018, constitue l’un des axes forts, dans tous les sens du terme, de la politique municipale et communautaire. D’abord le boulevard a littéralement porté la refonte du réseau de transport en commun en offrant aux bus une voie dédiée. Le projet a également permis la création de pistes cyclables et voies douces pour les piétons, prémices des plans Vélo+ et Marche. Et puis ce boulevard entièrement végétalisé relaye le principe d’une déminéralisation du cadre de vie et d’une désimperméabilisation des sols. Enfin, le nouvel axe routier entre Saint-Pol-sur-Mer, Petite-Synthe et Dunkerque s’avère un outil précieux face à l'évolution du climat : il a été pensé pour accueillir le trop-plein d’eaux pluviales et éviter ainsi l’inondation des secteurs voisins. 6. Fort-Aventures, une base de loisirs pensée par et pour le public Emblème du changement d’image du quartier, la base de loisirs Fort-Aventures a créé les conditions d’une attractivité nouvelle. Lancée par Patrice Vergriete en juin 2018, une Fabrique d’initiatives locales a laissé libre cours aux habitants, riverains comme associations et futurs usagers, d’imaginer l’équipement qui leur plairait. Dès 2019, la Tour Aventures accueillait ses premiers visiteurs, avant une ouverture complète en 2021. Littéralement perchée dans les arbres du parc et autour du fort de Petite-Synthe, la base de loisirs propose parcours d’accrobranche et zone de jeux et filets suspendus. D’année en année, l’offre s’élargit, autour de La Méridienne notamment, véritable centre névralgique du site. Avec 25 000 visiteurs par an, Dunkerquois et touristes valident un projet pensé par et pour le public ! 7.Ce mur antibruit qui change la vie Dans le secteur pavillonnaire de la Meunerie, profiter du calme de sa maison est parfois compliqué pour les riverains exposés aux nuisances sonores du trafic autoroutier. Aussi Patrice Vergriete et la municipalité avaient-ils pris l’engagement de travailler à la réalisation d’un mur antibruit. Au printemps 2022, la CUD lançait le chantier : un investissement de 1,2 million d'euros pour une véritable mesure de santé publique ! 8. Parcours d’arts urbains : pour changer de regard En 2022, rue du Banc-Vert, l’artiste dunkerquois Mikko Umi investit un mur et y décline la nouvelle identité graphique du quartier. Une fresque qui en appellera d’autres, puisqu’aujourd’hui c’est un véritable parcours d’arts urbains qui a fleuri. Avec le concours des bailleurs sociaux et des riverains qui acceptent d’accueillir une œuvre, cette galerie d’art à ciel ouvert colore le cadre de vie autant qu’elle interroge. La vingtaine de fresques du parcours sont aujourd’hui comme autant de fenêtres ouvertes sur la création, le partage de l’espace public ou ce patrimoine urbain qui nous est commun…. 9. Le redécollage du secteur Concorde À l’image du secteur de l’ancienne piscine Leferme aujourd’hui transformée en agréable lotissement, l’îlot de vie Concorde se prépare à connaître un nouvel essor. Première pierre de ce renouveau : la restauration de la mairie de quartier, victime en 2019 d’un incendie. Avec des espaces internes redéployés, l’équipement communal ouvre grandes ses portes aux habitants : pour les actes administratifs, comme pour les grandes étapes de la vie familiale, des expositions, encore des réunions de quartier ou la chapelle de carnaval ! Quelques pas plus loin, de l’autre côté du rond-point, c’est un lotissement entier qui sort de terre, diversifiant ainsi l’offre de logements à Dunkerque, tout en préservant le caractère résidentiel de Petite-Synthe. 10. L’Alliance, un équipement innovant Dans sa forme, celle d’une double ellipse, comme dans ses fonctions, L’Alliance, inaugurée en septembre 2024, est le symbole d’une ville de Dunkerque tournée vers l’innovation, la sobriété foncière et les conditions d’un vivre-ensemble harmonieux ! Au sein d’un même équipement, sont ainsi rassemblés les école Giono et groupe scolaire Meurisse, la maison de quartier du Banc Vert et un restaurant scolaire supplémentaire. D’un montant de 15 millions d’euros, l’investissement prône la mutualisation des espaces et la polyvalence : L’Alliance se veut ainsi le coeur une vie de quartier foisonnante ! Tous aux Boucles dunkerquoises ! Vous étiez 4 700 l’an dernier à courir les Boucles dunkerquoises, symbole d’une rentrée dynamique, sportive et conviviale dans la cité de Jean Bart. Une participation qui devrait encore être accrue cette année avec l’attestation du Parcours Prévention Santé (PPS) que vous pouvez d’ores et déjà générer sur le site pps.athle.fr. Quant au programme de l’épreuve, il reste inchangé le long d’un parcours de 10 km remodelé l’an dernier : le 20 km à 9 h, le 10 km à 9 h 50 et le 5 km à 10 h 30. Cinq courses sont également ouvertes aux scolaires, dont les départs seront donnés de 10 h 45 à 12 h. Enfin, une marche sportive de 5 km est programmée à 11 h 15. Inscriptions gratuites en ligne jusqu’au 10 septembre à 18 h sur www.ville-dunkerque.fr. Au stade Tribut, les vendredi 13 septembre de 12 h à 19 h et samedi 14 septembre de 10 h à 18 h. Aucune inscription ne sera possible le jour de l’épreuve. Retrait des dossards au même endroit et mêmes heures ou le jour des Boucles dunkerquoises, au village de la place Jean-Bart, jusqu’à 30 minutes avant chaque course.